INDILA – Dernière danse
Oh ma douce souffrance, pourquoi s’acharner tu r’commences
Je ne suis qu’un être sans importance
Sans lui je suis un peu «paro», Je déambule seule dans le métro
Une dernière danse, pour oublier ma peine immense
Je veux m’enfuir que tout r’commence, oh ma douce souffrance.
Je remue le ciel, le jour, la nuit, je danse avec le vent, la pluie
Un peu d’amour, un brin de miel
Et je danse, danse, danse, danse danse, danse, danse
Et dans le bruit, je cours et j’ai peur
Est-ce mon tour ? Revient la douleur…
Dans tout Paris, je m’abandonne
Et je m’envole, vole, vole, vole, vole, vole, vole
Que d’espérance… Sur ce chemin en ton absence
J’ai beau trimer, sans toi ma vie n’est qu’un décor qui brille, vide de sens
Je remue le ciel, le jour, la nuit
Je danse avec le vent, la pluie
Un peu d’amour, un brin de miel
Et je danse, danse, danse, danse, danse, danse, danse
Et dans le bruit, je cours et j’ai peur
Est-ce mon tour ? Revient la douleur…
Dans tout Paris, je m’abandonne
Et je m’envole, vole, vole, vole, vole, vole, vole
Dans cette douce souffrance, dont j’ai payé toutes les offenses
Écoute comme mon cœur est immense
Je suis une enfant du monde
Je remue le ciel, le jour, la nuit, je danse avec le vent, la pluie
Un peu d’amour, un brin de miel
Et je danse, danse, danse, danse, danse, danse, danse
Et dans le bruit, je cours et j’ai peur
Est-ce mon tour ? Revient la douleur…
Dans tout Paris, je m’abandonne
Et je m’envole, vole, vole, vole, vole, vole, vole